Après avoir lu "qui aime bien vaccine peu", "la bonne santé des enfants non vaccinés", visionné "silence, on vaccine", lu beaucoup beaucoup de choses sur internet, fait vacciner mon petit bonhomme avec deux injections d'infanrix contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la polio, l'haemophilus influenzae de type B et l'hépatite B et une dose de prévenar 13 contre le pneumocoque…Je n'arrive pas à me décider pour lui faire le troisième rappel d'infanrix.

Reprenons le début de l'histoire : début décembre, mon cher et tendre emmène Tom à l'ONE pour le faire vacciner uniquement contre la polio puisque c'est la seule obligation légale en Belgique. J'avais écrit en gros sur un post-it à destination de dame de l'ONE UNIQUEMENT LE VACCIN OBLIGATOIRE au cas où. Le soir, en rentrant du boulot, quelle surprise quand mon homme me raconte que Tom n'a rien dit à la première piqûre mais râlé à la deuxième…quelle deuxième piqûre ? Il me raconte avoir clairement expliqué qu'on ne souhaitait faire que le vaccin obligatoire et que la nana lui a répondu qu'elle ne faisait que les obligatoires oui oui….résultat : Tom a été vacciné contre 7 maladies au lieu d'une souhaitée. On s'en senti complètement dépossédé de nos choix en tant que parents. Nous n'étions sans doute pas assez informés à ce moment-là et ne nous doutions pas que l'ONE pouvait procéder de cette manière.

Après recherche : le vaccin contre la polio Imovax est en rupture de stock dans notre plat pays (tiens donc comme c'est bizarre) et jamais disponible lors des consultations de l'ONE. Quand on est retourné faire le rappel un mois plus tard, je n'étais pas très convaincue, les discussions ont été un peu houleuses, la grosse dame de l'ONE n'avait qu'un mot à la bouche "mort"…le régime de la peur avait frappé. Elle a prétendu que si on ne continuait pas les rappels, c'était plus dangereux (que si on n'avait rien fait ? ). La propagande des labos était bien passée. La dame obèse, l'oeil jaune et l'air malade me donnait des conseils de santé pour mon bébé. Les cordonniers seraient-ils les plus mal chaussés? De retour de ce rendez-vous, j'ai commencé mes recherches pour faire les choses en connaissance de cause.
Dans les grandes lignes, voici les choses marquantes selon moi (et beaucoup d'autres encore si le sujet vous intéresse, je vous encourage à vous procurer les deux livres nommés plus haut) :

  • quand on regarde les courbes le nombre de décès de la plupart des maladies contre lesquelles on vaccine les nouveaux nés (coqueluche, diphtérie,polio..) était en nette régression AVANT la vaccination de masse obligatoire en France. L'éradication des maladies serait plus liée aux conditions d'hygiène qu'à la vaccination mais quelle manne financière pour les labos…
  • Les maladies infectieuses comme le tétanos causent moins de 2% de décès en France et la moyenne d'âge des personnes touchées est de …78 ans ! pourquoi alors injecter des substances chez un si petit organisme ici chez nous (en Belgique ou en France)? Dr Berthoud raconte que dans les années 70, elle a vu beaucoup de bébés mourir du tétanos en Afrique du Sud parce que les femmes utilisaient des pansements ombilicaux à base de bouse de vache ce qui est très éloigné des coutumes ici. D'un autre côté, elle témoigne aussi avoir vu des bébés décéder juste après l'injection du vaccin diphtérie-tétanos.
  • Le vaccin contre l'hépatite B est inutile à l'âge des nourrissons car ils ne font pas partie des populations à risque : toxicomanes, individus à partenaires sexuels multiples et dialysés. En revanche, les effets secondaires sont extrêmement controversés.
  • Il y a aussi le gros problème lié aux additifs présents dans le vaccins : l'aluminium et le mercure sont les plus mis en cause et soupçonnés d'être à l'origine de l'augmentation massive du nombre de scléroses en plaque, d'autisme et d'autres troubles neurologiques à l'échelle mondiale. Pourquoi continue-t-on à en mettre dans les vaccins me direz-vous ? les sous comme d'habitude. Ce serait trop cher et donc moins rentable pour les labos de produire un vaccin contenant seulement la partie spécifique immunisante contre le germe en question.
  • Dans les années 70, la consigne était de ne pas vacciner les enfants nourris au sein parce que les anticorps maternels bloquaient l'action du vaccin. Pourquoi continue-t-on aujourd'hui si ce n'est pas une histoire de gros sous ?

Ce qui m'inquiète aujourd'hui, c'est que l'information sur les vaccinations donnée au corps médical et aux media est dictée par l'industrie pharmaceutique dont les intérêts financiers sont plus qu'évidents. Les gros labos type Sanofi ou GSK emploient chacun plus de 100 000 personnes dans le monde. Ils financent énormément de projets. Les gouvernements qui cherchent toujours à diminuer les chiffres du chômage sont pieds et points liés avec les labos surpuissants. Tout est lié. Même s'ils s'étaient rendus compte de certaines aberrations concernant les vaccinations de masses des nourrissons, je pense qu'il serait extrêmement difficile de faire machine arrière. Cela reviendra à avouer avoir contribué à "empoissonner" les populations pour des raisons financières : impossible. On ne saura donc jamais le réel gain de la vaccination sur les populations…mais on continue à vacciner à tout va, à l'aveugle.

Les vaccins empêchent l'organisme de créer ses propres anticorps et d'être protégé : comme le vaccin contre le cancer de l'utérus qui est, aujourd'hui, plus que controversé.

J'en suis là. Je n'ai pas envie de faire le 3è rappel de l'infanrix à Tom. D'autant que le vaccin et ses effets secondaires est en lui même remis en question…(cf lien ci joint)

Difficile de faire un choix sans avoir l'impression de faire prendre un risque à son enfant, d'être de mauvais parents parce qu'on remet en question un système établi, parce qu'on s'interroge et qu'on refuse de suivre la masse comme des moutons. Quand la majorité est convaincue, il faut monter le volume de sa petite voix intérieure à fond pour réussir à se faire confiance. Pas si facile.